Kankurô s'avança dans la banque aux murs bleus. Tout était calme et sobre, les lumières donnaient uen ambiance feutrée. La moindre de ses respiration s'entendait à l'autre bout de la salle. Il s'appliqua donc à ne pas faire trop de bruit. On n'entendait plus que les crissements des plumes des comptables sur les papiers. Il s'approcha du comptoir n°19. L'homme en face de lui était austère, il portait des lunettes. Replié sur lui même l'homme n'avait pas envie d'engager la conversation avec Kankurô. Ce dernier ne pressentant rien de bon en cet homme se hasarda à lui dire, sans paraître trop familier, quelques mots :
<<Bonjour monsieur, j'aimerai beaucoup pouvoir mettre mon argent à la banque. Ainsi si je me fais détrousser mes adversaires ne prendront qu'une partie de mon argent.
-Grml...>>
L'homme se retourna et se dit à lui même de sorte que les autres employés n'entendent pas son monologue mais que Kankurô, lui l'entende :
<<J'aime pas ces ninjas qui se croivent tout permis. Pff, fais chier. j'en ai marre de ce boulot où on a faire qu'à des clients énervants et qui vous agressent>>
Kankurô se mordit la lèvre pour ne pas répondre au préposé et le frapper. Les ninjas originaires de Suna no Kuni n'étaient pas des plus patients. Il fit comme si il n'avait rien entendu.
<<Alors monsieur, je vous ai posé une question. Et je suis de Suna, je impatient et violent donc j'attends une réponse. Je voudrai déposé cent ryos.
-Oui c'est d'accord déposez les vos foutus ryos !
Et c'est ainsi que Kankurô put déposé ces cent ryos qui l'encombrait pour voyager. Kankurô était content car il avait pû effectué deux actions qui lui tenaient à coeur. Premièrement il avait déposé cent ryos à la banque. Deuxièmement il avait pû embêté un employé malhonnête et méchant. Bref, tout allait bien.